一般財団法人　連帯　東北・西南　RENTAI　TOHOKU-SEINAN

Activités : Réception téléphonique et préparation des matériaux à poster au secrétariat du « Projet de réhabilitation d'Urato Uminoko »
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(Mlle O., femme de 29 ans, habitante de Tokyo)
Au secrétariat du « Projet de réhabilitation d'Urato Uminoko »,  le téléphone sonnait souvent et beaucoup d'inscriptions ont été faites.

La demande de renseignements concernait en majorité le système de propriétaire par quote-part unique.  C'est-à-dire que beaucoup s'inquiètent que leur contribution n'est parvenue et qu'ils ne puissent soutenir les sinistrés.  J'ai donc consulté le responsable du secrétariat et transcrit des notes accumulées sur les inscriptions en données électroniques pour alléger les services quotidiens.  Je souhaite rendre service à l'aménagement de l'environnement du « Projet de réhabilitation d'Urato Uminoko » ainsi que sa bonne administration.

Activités : Fabrication des radeaux d'élevage des algues, ramassement des ordures sur les plages, etc.
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(Mr T., homme de 36 ans, habitant de Tokyo)

Avec 8 éleveurs des algues, je les ai aidés dans la préparation de l'élevage.  Nous avons coupé les cordes reliant les radeaux avec les filets à plonger dans la mer.  Pendant ce travail, j'ai entendu parler du programme de reconstruction des établissements de séchage et traitement des algues proposé par la préfecture de Miyagi à la coopérative de pêche.  Les pêcheurs se torturaient l'esprit pour sauver la situation car l'investissement est un trop lourd fardeau pour eux.  Ils disaient qu'il était impossible d'assurer la production des algues et de fournir des produits sans résoudre ce problème.

Activités : Fabrication des radeaux d'élevage des algues, ramassement des ordures sur les plages, etc.
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(Mr N., homme de 31 ans, habitant de Tokyo)
J'ai participé au bénévolat 3 jours du 27 au 29 mai.

Fabrication des radeaux d'élevage des algues
J'ai aidé les éleveurs à couper des cordes en parts égales et les lier en faisceaux
à l'aide des fers à souder.  En travaillant ensemble, je parlais avec 8 adhérants du syndicat des désastres et des affaires privées.  Certains se sont vus détruire complètement leurs maisons, d'autres, emporter leurs voitures jusqu'à 300m de la porte maritime de Shiogama.

Ramassement des ordures sur les plages
Sur les plages s'éparpillaient de différentes ordures telles que plantes aquatiques, bois flottants, débris de verre, bouteilles, polystyrènes, etc.  Notre rythme permettait, à raison de 3 heures par 2 personnes, le nettoyage d'environ 35m x 20m.
En imaginant que ces plages étaient blanches avant les désastres, permettant aux adultes et enfants de courir pieds nus et de faire du sport tel que ski nautique et autres et tout en esperant les remettre, je me livrais au ramassement des odures.
Il m'a semblé que j'avais dû resserrer les relations avec des habitants en travaillant ensemble du fait que je ramassais des ordures avec mon camarade T.

J'ai appris l'imprtance d'une communication par les dialogues.  De plus, j'ai eu l'impression qu'il était important de faire quelque chose au profit de l'avenir de l'île Katsurashima en plus de l'aide physique.

Activités : Nettoyage des terrains pour des maisons provisoires
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(Mr S., homme de 52 ans, habitant de la préfecture de Tochigi)
Il est évident que l'île Katsurashima comptait parmi les îles Matsushima, sites touristique pittoresques avant les désastres.

J'ai aidé les habitants à faucher l'herbe de la cour d'une école primaire, terrain à bâtir des maisons provisoires.

Activités: Nettoyage de terrain pour la construction de logements temporaires.

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(K, homme de 50 ans qui vit à Tokyo.)

Une parole du maire, Mr Utsumi, était impréssionnant. Il a prononcé en témoignant sa gratitude, "c'est grâce à six jeunes îliens qui ont conduit de force tous les habitants à l'hauteur que nous n'avons subi que des pertes matérielles de 40 bâtiments et pas d'un mort contre le tsunami de quelques mètres d'hauteur".
Toutefois, environ 20 personnes sont toujour obligées de vivre dans une école primaire, un des lieux de refuge. De plus, des bois et des articles de ménages dispersés au bord de la mer, 40 bâtiments dans un état de gravat complet..., j'ai compris un long chemin au rétablissement et de l'importance de soutien continuel.

Activités: Secrétariat au bureau de "Projet de restauration Ura-To-Uminoko".Téléphone, préparation des matériaux postés.

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(N, femme de 27 ans qui vit à Tokyo.)

J'ai participé aux activités samedi et dimanche.
Samedi, le téléphone de demande de renseignelents sonnait tous les jours, ce qui prouve que tant de gens ont eu le sentiment de soutenir la zone sinistré.
Leur sentiment m'a ému. Par leur mot d'encouragement, bien qu'il est adressé aux sinistrés, j'ai eu moi-même le courage.

Activités: Secrétariat au bureau de "Projet de restauration Ura-To-Uminoko".
Téléphone, préparation des matériaux postés.
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(N, femme de 24 ans qui vit à Tokyo.)
Au bureau du syndicat des pêcheurs, nous avons reçu des téléphones par ceux qui souhaitaient participer au projet en devenant un propriétaire d'une portion des huîtres de l'avenir. L'effet de masse-média étant si fort, les téléphones n'arrêtaient pas de sonner et du coup nous n'avons même pas pu prendre de repos. Un habitant de l'île qui s'appelle S... m'a dit qu'il n'a pas pu prendre de congé depuis longtemps parce qu'il avait été le seul dans le bureau.
Les téléphones ont été de tout le pays. Ils m'ont donné beaucoup d'encouragement chaleureux. Comme leurs mots étaient si tendres, j'étais sur le point de verser les larmes. J'avais été fier d'être né au Japon dont le peuple a tant de bon cœur d'entraide.
Les dégats de tsunami ont été un grand choc pour moi. Toutefois, j'ai ressenti une impression profonde par des forces des gens qui font des efforts pour coexister de nouveau avec la nature.

Activités: Nettoyage de terrain pour la construction de logements temporaires.
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(T, homme qui vit à Tokyo.)

Un sinistré m'a raconté des situations de l'île; juste après le désastre, avant l'arrivée du matériel de secours, les îliens se sont aidés les uns les autres en aportant des aliments ou de l'essence et en ont partagés entre eux. Maintenant des femmes âgées qui ne font pas habituellement la pêche ont commencé à aider l'élevage d'huîtres.
Les habitants de l'île donnent l'impression de prendre leur indépendance sans distinction de sexe ni d'age.
Ils ont été très gentils et ils nous ont offert des mots d'encourage et ont pris du temps pour parler avec nous des sujets divers. J'ai eu le sentiment que c'est plutôt eux qui m'ont donné du courage.

Activités: Nettoyage de terrain pour la construction de logements temporaires.
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(K, homme qui vit à Tokyo.)

Katsurashima est une petite île avec 2km de périmètre, 6ha de superficie. Elle compte environ 240 habitants.
D'après Mr Utsumi, le maire, la plupart des îliens sont retraités et une personne sur dix d'entre eux engage un élevage des algues et des huîtres.
Travaillant comme organisateur de lîle même après l'expérience de la peur des catastrophes naturelles, Mr Utsumi était éclatant à mes yeux.

Faisant suite aux 3ème et 4ème, nous avons poursuit nos activités à l'Ecole Primaire Minato de la ville d'Ishinomaki.  Voici les rapports des bénévoles participants :

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(Mr S., homme de 39 ans, habitant de Tokyo)

Du 30 avril au 1er mai, j'ai participé à la distribution des repas et autres.  La reconstruction des régions sinistrées n'avance pas au-delà de mes connaissances acquises par les informations des media.  Je me suis rendu compte de la misère des régions sinistrées telle qu'odeur des déjections de la mer, gravats emportés, voitures, bateaux, maisons détruites, etc.
Les réfugiés à l'Ecole Primaire Minato vivent par groupes d'une bonne dizaine par classe.  La vie de refuge sur le plancher sans cloison durait plus d'un mois.  Comme les tuyaux d'égout sont engorgés par les boues industrielles, les pluies ne peuvent pas couler dans les tuyaux d'où les flaques tout autour.
J'ai eu l'impression que l'enlèvement des gravats et le nettoyage des tuyaux d'égout en particulier conditionnent la reconstruction des régions sinistrées.

(Mr M., homme de 37 ans, habitant de la préfecture de Kanagawa)

Qu'est-ce que je pourrais faire ?  J'y ai participé sans y croire vraiment.  Pourtant j'ai eu l'impression qu'il y avait beaucoup de choses à faire.
Ayant découvert les régions considérablement endommagées par le tsunami telles qu'alentours de l'Ecole Primaire Minato et port d'Ishinomaki, il m'a semblé que faire un pas en avant en se rendant sur les lieux ainsi pour sentir quelque chose menait au soutien concret.  J'ai reçu un choc devant la situation horrible et inexprimable, et en même temps, j'ai senti la grande ampleur de ce qui soutenait notre vie quotidienne puisque ce désastre est lourd de conséquences.
Par ailleurs, depuis mon enfance, j'ai entendu dire par mon grand-père et ma grand-mère que le Japon s'est relevé de ses ruines après la guerre, alors que le Tohoku connait actuellement une situation pareille, aussi existait la société d'aujourd'hui.  Nous avons joui des fruits portés par les efforts de reconstruction de nos devanciers.  C'est à nous de travailler, comme parties intéressées, à reconstruire les régions sinistrées.
Quant aux réfugiés, certains menaient positivement une action de concert et d'autres ne se secouaient pas à cause d'un sentiment de perte ou autres.  De plus, j'ai eu l'impression que les bénévoles étaient souvent trop consciencieux pour respecter l'énergie des sinistrés.  Il serait également important de se garder de rendre trop de services.

(Mr T., homme de 45 ans, habitant de Tokyo)
Il me semblait que la ville avait été coupée par l'écart de la zone considérablement endommagée et de la zone légèrement endommagée.  Dans cette première, une foule se massait pour la distribution des repas.  D'autre part, des gens faisaient les courses aux supermarchés dans cette dernière.  En outre, j'ai eu l'impression, tant que je parlais avec des habitants locaux, qu'un abîme se creusait entre les personnes qui ont perdu leurs maisons et les autres dont les maisons ont été sauvées même dans la zone ayant subi des dommages sérieux.